On nous a appris à toujours avoir un plan B. J’ai toujours un plan B. Or, cette semaine, j’ai dû trouver un plan C. J’explique:
J’ai réservé (avant la relâche) des périodes au laboratoire informatique pour que les jeunes cherchent des informations sur leur sujet pour le projet.
Lundi (9 mars), alors que nous étions en rencontre d’unité, le directeur de l’école vient avertir ceux ayant des périodes de prévues au laboratoire qu’il serait non disponible pour trois jours (mardi, mercredi, jeudi).
La raison: il sera rénové, car il se trouve en mauvais état. Comme je suis averti, j’applique mon plan B: réserver d’autres périodes vendredi (13 mars) et au début de la semaine prochaine (16 et 17 mars). C’est bien qu’on nous ait avertis.
Vendredi matin, je vais m’informer des procédures à suivre pour aller dans le laboratoire. On m’informe alors qu’il sera en réparation pour 15 jours supplémentaires… J’ai dû trouver un plan C à la dernière minute.
Je n’ai pas protesté; je me suis arrangé, mais compte tenu des circonstances et du temps qui passe, ce plan n’équivaut pas le plan B, encore moins le plan A… Je vais tout faire en sorte pour développer les compétences au maximum.